Mosaïque d'humanité.

"Je l'aimais à me laisser crever intérieurement de mes sentiments cachés, jusqu'à la révélation." Sa présence m’était insupportable. Le sentir respirer Me regarder Songer qu’il pensait à moi. Son tout pour moi était devenu rien. Je m’étais lassée de lui, je l’avais mis au grenier. Je voulais l’oublier totalement, Mettre de côté mes sentiments. Je passais devant lui en jouant la forte Mais il était ma faiblesse. Avec lui, mes rêves cesseraient d’être morts, Vers le paradis il était  mon escorte. Il était  mon nord … Il a fait  que le trouble naisse. Si je faisais enfin face, Je craignais que mon cœur se fracasse A la vérité de mes sentiments, Que j’avais mis tant de mal à dissimuler. Dans un coin de ma tête, De mon inconscient. Je voulais contourner la tempête, Garder la raison comme maître dominant. Que mes amours cauchemardesques ne deviennent pas réalité. L’amour peut faire tellement de dégâts Quand o

"J'ai crié dans l'orage à en perdre la voix. " LORAGE Château de cartes. Image par  FelixMittermeier  de  Pixabay   Mon cœur depuis qu’il a été en contact Avec l’Amour , il n’est plus intacte. Il est entrer dans une tempête, Depuis tout s’enchaîne. On change de décor Lumière. Noir. Reprise. Gris. Il n’a ni queue ni tête Dans son désordre, au cœur de sa fête Il y a un orage. Tout y est englouti Comme un trou noir Il fait plus de ravage Qu’une tempête, Qui à côté est une brise. Il fait que mon cœur est Perdu entre tout entre rien entre tristesse, joie colère rage. Il ne sait plus où se mettre Ni qu’il doit être. Il voudrait qu’on le récupère Qu’on arrête ce carnage sur ses nerfs Il voudrait qu’on le tire jusqu’à la rive Qu’il cesse d’être captif, d'être à la dérive  De lui même. Il voudrait qu’on le rassure : Qu’il n’a pas autant de fissure Qu’avec un peu d’adhésif

"Nous ne pouvons pas vivre sans corps et sans esprit. Faisons de notre mieux pour faire cohabiter ces deux forces, ensemble. Ne pas négliger qui nous sommes, jamais." Image par  PublicDomainPictures  de  Pixabay   Le problème avec la société de consommation c’est qu’elle cause notre oubli . Nous ne savons plus qui nous sommes car nous troquons notre «  être » pour celui du « paraître ». C’est tellement plus simple de se faire passer pour quelqu’un d’autre que d’assumer notre rang. Nous en perdons notre dignité, notre singularité pour faire la belle, pour faire son intéressante. Nous voulons montrer que nous brillons plus que jamais pendant que notre vrai nous s’éteint peu à peu. Qu’est-ce qu’il reste et surtout qui quand nous enlevons tout ce que nous avons du porter pour la société, maquillage, escarpins et autres ? Nous perdons notre liberté de nous exprimer librement, nous devons esclaves. Nous sommes soumis à la société, nous sommes dictés par leurs voi