Mosaïque d'humanité.

    "Pourquoi choisir quand nous sommes heureux? " Illustration by @lunecornio ( about Instagram) Choisir.  Dans la vie il faut toujours faire cette action. Choisir comment s’habiller, ce qu’on va faire de la journée mais une chose auquel je ne pensais pas qu’on devait choisir, c’est de qui on tombe amoureux.  Je suis une fille et je suis en plein   de doute, je n’arrive pas à me décider. J’aime les garçons et les filles. Or la société nous a toujours dit c’est les garçons OU les filles.  On ne peut donc pas choisir les deux, comme troisième option et pourtant si car je fais partie de ces gens qu’on appelle bisexuel( lle). Je m’inclue dans cette case sociétale qui signifie d’emblée que nous sommes dans une phase de transition pour que nous puissions s’avouer notre homosexualité. Mais nous ne sommes pas mi «  hétéro » mi «  homosexuel » .   Les gens parlent de cette façon parce qu’il ne savent pas ce que c’est d’être «  bi » ou bien en nie l’exis

Jonah FOULON. Instagram : @jonah.fln Est-ce que c'est un pénis ou un vagin qui définit si nous sommes homme ou femme ?  Non c'est une question de ressenti. C'est pour cela qu'il y a des Nuances de masculinité et de féminités. Tout le monde ne le ressent pas pareil. Ce n'est pas le sexe génital qui défini l'homme ou la femme ni même l'humain en général. C'est notre capacité à réfléchir qui fait de nous des êtres humains et de réflexion. Tu peux très bien avoir un pénis et te sentir femme et inversement. Je dis bien sentir.  Le fait de ne pas être en accord avec son corps ne nous enlève pas des caractéristiques de notre humanité.    Comme si ne pas être en phase avec avec nous même nous empêcher de réfléchir.  Non, nous sommes des êtres pensant et un non harmonie avec notre corps ne change rien à cela. Les personnes à la recherche d'eux même car ils n'ont pas eu de chance à la naissance, nous comprennent

     " Un endroit digne d'une pièce de théâtre. " Photographie prise par Loic MOREL. Son instagram : @prince_de_la_logique_multiple Cette étendue de sable qui se propage à perte de vue, et qui discerne des silhouettes en tout genre. Des personnages de la vie qui se sentent bien dans leurs corps. Qui profite de ces moments de soleil pour montrer leurs atouts, leurs sculptures corporelles. Des personnes insouciantes qui ne se posent pas plus que question que cela et savoure l’instant présent. Des âmes qui ont besoin de solitude et qui   aiment la tranquillité de cet endroit : comme se retrouver face au néant. Il y a des corps qui se sentent comme de trop, comme si tous les regards étaient braqués sur eux. De simples orbites deviennent des feux de projecteurs. Que ceux-ci les détaillent totalement et qu’ils pointent notre complexe, différence, notre mal-être. C’est comme si qu’ils s’étaient tous retrouvés pour   dire : Regarde cette personne, elle n’es