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Affichage des articles du février, 2019

Plusieurs vies en nous.

  "La vie entière est un amas de déjà vu . " Image par  Karin Henseler  de  Pixabay    Je pense que notre vie n’est qu’une partie de ce que nous avons vraiment vécu. Cela peut paraître bizarre mais je me dis qu’avant nous avons eu une vie différente et que cela a un impact sur notre vie actuelle. Par exemple, si dans notre «  autre » vie nous avons été mal aimé, ou autre sentiments de ce type nous allons réagir différemment dans le corps que nous avons incarné. Si nous étions une fille avant et que le corps que nous avons pris possession en quelques sortes, est celui d’un garçon alors nous n’allons pas nous sentir à l’aise et chercher à changer cela. Je peux continuer sur ma lancée et faire l’hypothèse que nous avons des talents « innés ». C’est pour cela que certaines personnes ont plus de facilité avec des disciplines alors qu’elles ne le font pas pratiquer. Nous en sommes stupéfaits par ce talent, nous employons cela. Il y a aussi un sentiment étrange que

Notice parentale.

Image par  Peter H  de  Pixabay   Je ne sais pas si vous avez déjà entendu la phrase «  Être parent c’est un métier à plein temps ». En effet, dès la naissance de l’enfant cela demande toute une nouvelle organisation de vie de famille. Plus rien n’est comme avant. Les nuits blanches prennent le dessus sur des jours d’hibernation et j’en passe, là n’est pas le sujet du moins en profondeur. Nous pensons qu’être parent c’est en partie donner de l’amour. Nous réussissons bien sur ce point là, il n’ y a pas de soucis. Nous faisons en sorte que l’enfant ne manque de rien, de combler en parti le moindre de ses petits caprices. Nous voulons son bonheur, il devient notre petit centre du monde.  Ce côté affection est une partie du travail du parent, il y en a une autre qui est plus complexe à assumer. Le métier du parent est ce qui s’apparente le plus à celui du mentor.  Il doit nous guider et nous aider à ce que nous prenons notre autonomie.  Il doit nous laisser vivre

Généralité à l'eau de rose.

«  Il y a que l’amour pour sauver le monde. Pourquoi j’aurais honte d’aimer ? », Le bleu est une couleur chaude, Julie MAROH;   Photographie d'une fleur d'Hibiscus de la Réunion, prise par moi-même. L’amour peut être vécu de plusieurs façons différentes, il n’y a pas qu'une manière de ressentir d’aimer. On se sent gêné ( e) quand on éprouve une attirance pour quelqu’un du même sexe et pourtant il n’y a aucune honte à cela. On ne fait qu’aimer une personne. On peut aussi aimer les deux sexes, homme et femme, cela est de la bisexualité.   On peut aussi aimer une personne qui se présente comme une fille, corporellement parlant, et qui  se ressent homme. Dans ce cas-ci, on se qualifie de quoi pour la société ? Lesbienne ? J’estime que si nous voyons la personne dans sa totalité et comme elle veut que nous voulons que nous la voyons, pour les personnes qui ont une identité de genre différente, alors nous devons nous focaliser sur ce que nous resse

Humanité dénaturée.

"On se laisse dicter par la voix de la société ainsi que se fondre dans leurs idéologies en méprisant les nôtres." Image par  Comfreak  de  Pixabay   Le monde est trop sociétale mais pas assez humain.  Nous sommes nés et fait pour penser le monde.  Nous différencions les sexes dès la naissance en mettant des couleurs aux enfants. Bleu pour les garçons et rose pour les filles.  Pour commencer, nous ne devons en aucun cas choisir dés le début la couleur de l’enfant en se basant sur son sexe et en correspond à la société. Nous devrions choisir une couleur neutre pour que l’enfant puisse se sentir neutre. De plus, avant l’arrivée au monde de l’enfant, nous ne devons pas dire, si on nous demande ou bien de façon volontaire, que "c’est une fille? " ou   "  c’est un garçon ?", nous devrions dire simplement que c’est " un être humain ". On habille plus soigneusement une fille et on lui apprends les bonnes manières pour ne