Mosaïque d'humanité.

                                                       " Un jour de pluie parmi tant d'autres".  Image par  imagii  de  Pixabay   Tu me manques. Ne plus t'entendre et ne plus te voir hormis dans mes songes les plus intimes. Je n'aurais jamais cru que ta perte allait autant me marquer. Tu comptais énormément pour moi et cela n'a pas changé. Tu es et tu seras une partie de moi. Que tu sois là ou dans les cieux. Tu me manques putain de merde. La personne que j'étais avec toi, au téléphone avec toi. Le fait de t'appeler de temps en temps pour soit disant quelques minutes et que ça finisse en quelques heures. C'était nos moments d'appel. D'ailleurs je n'ai jamais enlever ton numéro de téléphone . C'est trop dur. La tentation est toujours là, de me dire que je peux encore t'appeler quand je ne vais  pas bien même si je sais bien au fond qu'il n'y aura que le vide pour me répondre. Le vide ou bien le synonyme de ce que tu m'

                                                      Chapitre 8 : Le cauchemar du miroir  A mon réveil tout changea. Je me sentie différente sans savoir pourquoi. Au fond je l'ai  toujours étais. C’est ancré comme un tatouage, j’ai gardé  des souvenirs des pleurs que je partageais avec ma mère mais cette fois-ci  c'était totalement différent. Je ne saurais comment expliquer mais c’était comme  un renouveau après ce doux baiser qui me donnait des ailes. Cependant, ce n’était pas la seule chose qui ressortait de cet échange passionné. Je ressentais qu’au fond de moi, il me manquait quelque chose. Enfin peut être que ce n’était pas matériel. Je m’examinai à proprement parler, tout était en place. Alors pourquoi je ressentais cela ?  Je respirai calmement pour ne pas être submergé par mes émotions. Je m’interrogeai sur ce que je vivais dans ma petite tête. Je fis le vide dans ma tête. Le vide, c’est exactement ce qui ressorti en premier. Je me sens VIDE, avec un sentiment que je n

                                   Emylien de son instagram : @loki-rat-manyt Voix pré T, Voix prêtée.  Une voix de mensonge Qui me ronge... Je suis un être faux Rempli de maux.  Du moins je l'étais jusqu'à l'instant de trop. Jusqu'au mauvais prénom de trop. Jusqu'au mauvais pronom de trop. Jusqu'à l'erreur de trop. Jusqu'au mensonge de trop. Je me mentais à moi-même. Je ne m'aimais pas dans ce corps Dans ce sarcophage de chairs. Je n'aimais pas ce que je voyais Dans le miroir.  Ce que j'entendais quand je parlais. Je n'aimais pas ces formes  Qui étaient difforme  De ce que j’étais.  Je n'aimais pas les parties de mon corps  J'aurais préféré être mort  Que de vivre encore  Avec ce mauvais sort,  Qui était de vivre dans le corps d'un autre...  Je me sentais comme une fleur  Qui se voulait éclore  Mais qui attendait son heure. Alors j'ai parlé  Et mes mots remplis d'émotions  M'ont fait crier : Que je ne me sentais

   "Ce ne sont pas ces signes binaires qui déterminent ce que nous ressentons pour les individus. C’est toi et moi contre le monde entier.  " Extrait de l'histoire de CircleLand.  Image par  StockSnap  de  Pixabay Depuis que je suis petite, j'entends partout  des choses  totalement sociétale où je me balade dans la ville qu'à CircleLand tout était fait pour que tout le monde soit heureux.  Je le conçois c'est un endroit sécurisé mais aussi divisé. En effet, quand nous naissons, nous sommes marqués par un chiffre pair ou impair en fonction du hasard. La société par la suite éduque chaque catégorie séparément pour ne pas qu'il ne se rencontre, cela pourrait mal se passer. Évidement, elle n'a pas donné une optique où cela serait se passerait bien entre les deux. Dans leurs têtes c'est qu'ils sont différents et donc ils vont s’entre-tuer pour dominer l'autre espèce. Nos relations de toutes natures se limitaient donc qu'à des sem