" Un endroit digne d'une pièce de théâtre. "
Cette étendue de sable qui se propage à perte de vue, et qui
discerne des silhouettes en tout genre.
Des personnages de la vie qui se sentent bien dans leurs corps.
Qui profite de ces moments de soleil pour montrer leurs atouts, leurs sculptures corporelles.
Des personnes insouciantes qui ne se posent pas plus que question que cela et savoure l’instant présent.
Des âmes qui ont besoin de solitude et qui aiment la tranquillité de cet endroit : comme se retrouver face au néant.
Il y a des corps qui se sentent comme de trop, comme si tous les regards étaient braqués sur eux.
De simples orbites deviennent des feux de projecteurs.
Que ceux-ci les détaillent totalement et qu’ils pointent notre complexe, différence, notre mal-être. C’est comme si qu’ils s’étaient tous retrouvés pour dire : Regarde cette personne, elle n’est pas conforme, elle se sent mal dans sa peau.
Pour certains individus, ces moments agréables sont des calvaires car ils sont exposés et se sentent vulnérables.
Nu comme un vers.
Que ce corps que certains n’acceptent pas est mis à vue.
Que celui-ci ne permet pas certaines choses.
Que la cellulite en trop, ce n’est pas bien.
Que certaines imperfections poilues ne sont pas bien et que cela fait moche.
Notre souffrance est accentuée au maximum.
Ce sentiment que nous ne sommes pas comme les autres et que nous n’avons pas les mêmes opportunités.
Que les autres valent mieux car ils se sentent bien dans leurs corps.
On regarde ces personnes et on a envie de crier : « Je veux pareil, je ne demande que d’être bien. Pourquoi j’ai ceci ? Pourquoi je n’ai pas ce corps de rêve. »
Des personnages de la vie qui se sentent bien dans leurs corps.
Qui profite de ces moments de soleil pour montrer leurs atouts, leurs sculptures corporelles.
Des personnes insouciantes qui ne se posent pas plus que question que cela et savoure l’instant présent.
Des âmes qui ont besoin de solitude et qui aiment la tranquillité de cet endroit : comme se retrouver face au néant.
Il y a des corps qui se sentent comme de trop, comme si tous les regards étaient braqués sur eux.
De simples orbites deviennent des feux de projecteurs.
Que ceux-ci les détaillent totalement et qu’ils pointent notre complexe, différence, notre mal-être. C’est comme si qu’ils s’étaient tous retrouvés pour dire : Regarde cette personne, elle n’est pas conforme, elle se sent mal dans sa peau.
Pour certains individus, ces moments agréables sont des calvaires car ils sont exposés et se sentent vulnérables.
Nu comme un vers.
Que ce corps que certains n’acceptent pas est mis à vue.
Que celui-ci ne permet pas certaines choses.
Que la cellulite en trop, ce n’est pas bien.
Que certaines imperfections poilues ne sont pas bien et que cela fait moche.
Notre souffrance est accentuée au maximum.
Ce sentiment que nous ne sommes pas comme les autres et que nous n’avons pas les mêmes opportunités.
Que les autres valent mieux car ils se sentent bien dans leurs corps.
On regarde ces personnes et on a envie de crier : « Je veux pareil, je ne demande que d’être bien. Pourquoi j’ai ceci ? Pourquoi je n’ai pas ce corps de rêve. »
La plage est un rassemblement et je dirais même un moyen
d’exposer l’humain.
C’est un peu comme un obstacle pour l’acceptation de soi.
Une étape pour que nous puissions appréhender et vivre avec ce corps.
Avoir le poids des autres, qui nous dise que nous ne sommes pas assez bien , que nous ne ressemblons pas à ceci cela ; qui se moque de notre corps.
Qui remet une couche sur notre sentiment.
C’est pour nous tester et que nous voyons en quelque sorte que nous avons un potentiel.
Que nous sommes beaux même avec nos complexes.
Nous ressentons tellement notre complexe que nous lui donnons de l’importance et une arme pour les autres.
On leur dit indirectement ce qui nous fait souffrir pour qu’il nous désarme et nous anéantisse sous ce beau soleil doré.
Il y a certains complexes corporels qui sont durs à faire face pour que nous affrontions cette épreuve, comme quand nous ressentons le fait que nous ne sommes pas dans le bon corps.
Que notre représentation de nous n’est pas en accord avec la représentation physique.
Les moments de plage sont alors affreux et des calvaires.
C’est un peu comme un obstacle pour l’acceptation de soi.
Une étape pour que nous puissions appréhender et vivre avec ce corps.
Avoir le poids des autres, qui nous dise que nous ne sommes pas assez bien , que nous ne ressemblons pas à ceci cela ; qui se moque de notre corps.
Qui remet une couche sur notre sentiment.
C’est pour nous tester et que nous voyons en quelque sorte que nous avons un potentiel.
Que nous sommes beaux même avec nos complexes.
Nous ressentons tellement notre complexe que nous lui donnons de l’importance et une arme pour les autres.
On leur dit indirectement ce qui nous fait souffrir pour qu’il nous désarme et nous anéantisse sous ce beau soleil doré.
Il y a certains complexes corporels qui sont durs à faire face pour que nous affrontions cette épreuve, comme quand nous ressentons le fait que nous ne sommes pas dans le bon corps.
Que notre représentation de nous n’est pas en accord avec la représentation physique.
Les moments de plage sont alors affreux et des calvaires.
Qu’importe notre complexe. La plage est un marathon.
C’est pour cela que nous devrions nous y rendre au fur et à mesure de notre acceptation de soi.
La plupart des inconvénients cachent des opportunités.
C’est en affrontant le problème que nous nous rendons plus fort.
C’est pour cela que nous devrions nous y rendre au fur et à mesure de notre acceptation de soi.
La plupart des inconvénients cachent des opportunités.
C’est en affrontant le problème que nous nous rendons plus fort.
- By Yma.
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