"Les femmes valent mieux que de vulgaires concours de beautés. "
Salutations cher lecteurs,
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Image par Света Токатлианн de Pixabay |
Salutations cher lecteurs,
J’espère que vous
allez bien et que tout se passe pour le mieux pour vous. Personnellement, les
choses sont relatives mais nous ne sommes pas là pour parler de ma météo
émotionnelle. Aujourd’hui, j’ai décidé de parler avec vous de quelque chose qui
m’exaspère du plus haut point : les concours de beauté.
Je trouve que ce type
d’organisation est d’un pathétique
remarquable.
Quand on entend « Mini Miss », qu’est ce que j’ai envie de frapper les gens (exagération). L’âge auquel les petites filles y participent, c’est trop tôt. On leurs fait tenir le rôle de femme avant l’heure.
On leur assimile l’idéal sans trop leurs demander leurs avis.
Quand on entend « Mini Miss », qu’est ce que j’ai envie de frapper les gens (exagération). L’âge auquel les petites filles y participent, c’est trop tôt. On leurs fait tenir le rôle de femme avant l’heure.
On leur assimile l’idéal sans trop leurs demander leurs avis.
Il n’y a pas de place pour les garçons manqué là-dedans car elles n’en
représentent pas la « femme de la société ». Tout est une question de
société.
C’est juste pour
correspondre à notre genre : tu es une fille, tu dois être douce, cultivée, quelqu’un de
bonne manière et belle.
Cependant, la beauté
est subjective et non objective.
Les concours de beauté ne sont que des opportunités pour juger les gens
sur leurs physiques et leurs corps. Si tu as un kilo en trop, tu n’es pas
prise. Personnellement, je préfère avoir
un kilo en trop que de me faire mon intéressante.
« Les kilos féminins » ne sont que des normes si tu ne fais
pas partis de la fourchette, tu es rejetée.
Vous imaginez le moral des petites filles qui ont ces quelques kilos en trop, comment elles doivent se sentir mal. Heureusement, il y a des concours pour les « femmes fortes », elles montrent qu’il y a plusieurs femmes et donnent confiance à cette génération « différente».
Vous imaginez le moral des petites filles qui ont ces quelques kilos en trop, comment elles doivent se sentir mal. Heureusement, il y a des concours pour les « femmes fortes », elles montrent qu’il y a plusieurs femmes et donnent confiance à cette génération « différente».
Les femmes sont plus
que des talons, des soutiens-gorge , du maquillage et des coiffures élaborées.
Elles sont plus que
ces valeurs féminines qu’on leurs transmets comme un guide d’emploi.
Nous n’avons pas besoin de concours de beauté pour savoir que nous
sommes plaisante. De plus, ils sont organisés à l’avance, ces concours, et
ils savent le nom de la gagnante limite avant de voir la tête.
Nous sommes belles avec nos imperfections, nos kilos. L’être humain est
beau, pourquoi l’exposer ?
Si ces concours
n’étaient pas aussi sociétaux, tout le monde aurait sa chance.
C’est cela le
reproche, trop élitiste , trop de
critère.
Ce n’est pas humain.
On expose les femmes comme de vulgaire morceau de viande et celle qui est ou je devrais dire parait appétissante, on l’a choisi.
On expose les femmes comme de vulgaire morceau de viande et celle qui est ou je devrais dire parait appétissante, on l’a choisi.
Cependant, cela est
vrai car on dénature la femme.
La femme
devient objet.
Une robe, des talons
et des projecteurs et limite elle devient conne.
« J’ai toujours
voulu participer à ces concours », ce que tu voulais c’est de
l’approbation et qu’on te dise que tu es belle pour combler le manque de
confiance en toi.
Nous avons toutes
notre beauté car nous sommes singulières.
Pas
besoin de critère, de feu de projecteur, d’artifice.
Nous brillons de
nous-même. Nous sommes des lumières.
Les concours de
beautés éteignent nos éclairages. Ils
enlèvent notre confiance en nous. N’oublions pas qui nous sommes et ce que nous
valons. Nous sommes toutes des légendes.
On ne doit pas laisser la société nous catégoriser de belle, ou nous la laisser nous faire entendre que
nous n’avons pas les critères pour défiler sur le podium.
Nous ne sommes pas des objets.
Nous sommes des personnes avec un passé marqué d’histoire et nous
devons nous faire entendre.
- By Yma.
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