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Venez comme vous êtes .

                                                                        "De fil en aiguilles."
     
                                         LES VÊTEMENTS.

.                                                   Image par MichaelGaida sur Pixabay.

Bonjour tout le monde; j'espère que vous allez bien et si ce n'est pas le cas je vous envois des good vibes. Aujourd'hui comme vous l'aurez compris dans le titre je vais vous parler des vêtements. J'espère réussir ma mission en l'arbordant sous toutes ces coutures. Je vous laisse donc sur ces derniers mots avec la suite du poste. Bonne lecture et n'hésitez pas à partager. 

Les vêtements. Ce morceau de tissu sans intérêt et pourtant identitaire. Cette matière qui nous couvre la peau tant bien que de mal. C’est dingue, cela ne semble pas avoir énormément d’importance et pourtant cela fait partie de nous dans un sens. Mais on va y arriver, de fil en aiguille ne vous en fait pas.

Les vêtements donc. Cette chose, cette institution sociale je dirais qui n’a pas échapper le moins du monde au contrôle des stéréotypes de genre et au système de case. En effet, depuis notre venu au monde on nous inculque que le bleu c’est pour les garçons, que le rose est mieux pour les filles et que selon les corps on doit s’habiller d’une certaine manière. A peine qu’on ait  dit le moindre son, qu’on donne un sens à un morceau de tissu à notre place. On lui  assigne notre identité par ce sens. On se restreint, la plupart du temps, à faire certains achats pour correspondre au code. A des cases qui nous emprisonne et nous étouffe.

Le tissu a donc un pouvoir du moins on lui en donne. Or, on ne doit pas se laisser faire par un vulgaire morceau de tissu. Ce n’est le tissu en question qui nous porte mais bien nous portons le tissu. On doit lui donner le sens qu’on veut et le dominer. Les vêtements sont un moyen de communiquer au monde qui nous sommes et comment nous allons dans ce monde. Ils servent d’intermédiaire et de moyen de nous comprendre d’une certaine manière. C’est une forme d’expression de nous-même. Alors si tu veux porter des robes, des jupes, des caleçons ou ne pas en porter, si tu veux t’habiller de cette façon ou d’une autre, alors fais-le. Sois toi-même et n’oublie pas que les vêtements n’ont pas de genre, ce n’est qu’une image, une idée que le monde a façonné. Les vêtements sont un construit social et c’est à toi de te l’approprier. Brille comme tu es !

Bon maintenant, pour ces quelques petits à venir, je vais parler plus simplement. Les vêtements sont basiques et sans importance jusqu’au moment où nous en donnons, où nous posons les yeux et où nous le faisons vivre d’une certaine manière. Tout le monde peut avoir un certain vêtement, la dernière chose à la mode ou une chose basique mais chaque être humain est unique et porte le vêtement, l’accessoire, qu’importe cette information supplémentaire qui surplomb l’individu, d’une manière unique et magique.

Les vêtements peuvent nous servir de déguisement. En effet, dans certains cas, on peut détourner leurs fonctions et leurs attribuer un rôle de masque sur ce qu’on ressent et se faire passer pour une personne que nous ne sommes pas. On peut leurs connoter cela avec l’idée de costume, qui sont juste des vêtements qui nous permettent d’emprunter le rôle le temps d’un instant. Comme on dit «  juste le temps d’un instant, voir la vie autrement ». Le théâtre et le cinéma ne sont pas les seuls à  utiliser les vêtements comme des déguisements ou des costumes. Effectivement, dans la vie, eh oui même la chose la plus simple peut s’y prêter, on peut se sentir pas soi-même, pas à l’aise dans nos vêtements et dans notre peau et dans ce cas, notre corps nous semble étranger et notre seconde peau, les vêtements aussi. On peut se sentir être déguisé.e dans la vie de tous les jours, même avec des vêtements simples et non forcément extravaguant, juste car on ne se sent pas soi-même et donc que ces vêtements, cette couverture, ce n’est pas ce que nous sommes.  A ce moment-là, ils nous  servent de masque jusqu’au moment où on se révèle et qu’on se définisse par plusieurs moyens y compris, vous l’aurez compris par les vêtements.

Dans tous ces petits paragraphes, j’ai essayé de vous faire comprendre, avec ma pure maladresse, que les vêtements ont un côté social. Mais les vêtements, est-ce que cela ? Eh bien non, vous vous en doutez, sinon j’aurais déjà rédigé mes fameux mots de la fin. Alors, qu’est-ce que  ces matières naturelles ou synthétiques qui enveloppent nos formes ont de plus à nous dire ?

Les vêtements touchent donc le social mais aussi la sphère écologique. En effet, ils ont un impact immense sur l’écosystème et sur le changement climatique. La production de vêtement utilise beaucoup de maltraitance sociale, animale et autres qui ont des conséquences sur l’environnement. Il y a la l’utilisation de matière louche d’un point de vue du maintien de l’environnement et surtout pour l’entretien comme l’élasthanne ou le polyester. Effectivement, ces matières, une fois dans le tambour de la machine à laver, dégagent des mochetés dans l’eau et la pollue donc. La production de vêtements fait partie d’une des grandes causes du réchauffement climatique. Avons-nous réellement besoin d’acheter des vêtements au bout du compte ?  C’est par cette question que j’entame donc ma transition.

Les vêtements font partis de l’engrenage de la société de consommation. Il y en a à revendre, pour tous les goûts, tous les genres et non genres, pour tous styles. Comme on dit, on peut trouver ce qui nous va comme un gant facilement. Justement, c’est peut-être cela qui pose « problème » et nous fait être « esclave de la société de consommation et de vulgaire morceau de tissu. ». Enfin, je ne veux pas dire qu’on doit adopter un mode de vie qui se rapproche des nudistes. Ce que j’essaie de soulever par là c’est l’idée suivante : avons-nous un besoin puissant et profond d’acheter sans cesse et continuellement des vêtements ? Cette question me fait  penser à un film, qui est basé sur un roman, « Confession d’une accro au shopping ». Cela raconte l’histoire d’une jeune femme qui aime le shopping au puis au point et qui arrive à  un point culminant qui a un des conséquences et lui font prendre conscience de certaines choses. Ce que j’essaie de dire par là, c’est qu’il faut regarder le film car il est très instructif et sinon bah  il  faut juste se demander les raisons de nos achats ( si c’est émotionnel comment on pourrait arranger les choses) et surtout s’interroger sur le fait «  ce que j’achète, est-ce vraiment important et nécessaire ?, est-ce que j’en ai besoin ?  ». En gros, ça ne coûte pas grand-chose voire rien du tout de se poser ces questions. Au contraire, cela nous fait des économies et nous permet de moins accumuler et d’avoir peut-être du mal à se détacher du vêtement en question. On peut acheter des vêtements, dans ce texte, je ne dis pas qu’il faut arrêter et je n’essaie pas d’influencer vos pratiques de dépenses mais je dis juste qu’on peut y faire attention car au final à quoi bon avoir toute une penderie remplie si c’est pour mettre tout le temps la même chose ou presque ou si c’est pour accumuler et se rendre compte bien plus tard ( souvent quand le temps nous fait défaut) qu’on avait encore cette pièce et qu’on l’appréciait  mais qu’on ne peut plus ou ne veut plus la mettre.

Pour presque finir cet article de blog, je dirais juste que j’ai oublié d’aborder, dans la partie sur le côté social, que pour pouvoir s’habiller il y a un prix et que celui-ci est bien souvent la mauvaise condition de travail d’individus. Elles sont maltraités financièrement parlant surtout d’un point de vue de la santé en raison de l’exposition à des produits chimique (je fais référence à une vidéo que j’avais vu en Terminale L, qui s’appelle Le tour du monde d’un Jeans). C’est de même pour les chaussures, je pense surtout à la marque Nike.

Une dernière chose, il y a un moment de lier vêtements et bonne conscience. Eh oui, on peut donner nos vêtements qu'on ne met plus afin de satisfaire d'autres personnes et leurs donner une deuxième vie. On peut les relooker en les assemblant dans la mesure du possible. On peut aussi les vendre sur des applications prévues à cet effet, je pense par exemple à l'incontournable VINTED qu'on voit presque tout le temps en publicité. On peut fabriquer les vêtements. Se renseigner sur les vêtements, par exemple sur la composition, les conditions de travail, leurs impacts écologiques. Sinon, on peut aussi acheter en seconde main, dans les friperies. Il y a bien souvent de tout et surtout le prix est plus attractif. Il y a aussi les ventes en ligne ou les brocantes. 

A travers ce texte qui parle des vêtements, j’ai fais mon possible pour éveiller les consciences sur notre mode de consommation. Je tiens à  le repréciser que je ne juge personne car je n’ai pas forcément la manière d’agir mais j’essaie de faire des efforts. Peut-être que vous regarderez les vêtements d’une autre manière ou que vous allez regarder le film ou vous renseignez de votre côté. A bientôt pour de nouveaux textes.

                                                                                                          GOOD VIBES. BY YMA. 


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