Accéder au contenu principal

Retrouvaille intérieur dans une société d'image.




 "A moment with me it's good." By Me. 

On est dans une société d’image et de rôles à tenir. On doit être dans le rang de la société et correspondre à ce qu’on reflète . On joue à être quelqu’un d’autre en oubliant d’être nous -même .
On joue les forts, les non sensible pour la plupart des garçons et  pour les filles, sensibles voire demoiselle en détresse . 
C’est une habitude quand on regarde les autres, pour se préserver et ne pas se faire de mal .
 Il ne faut pas gâcher son image après tout.
 C’est à ce moment là que les moments de solitude sont les plus essentiels pour nous retrouver un peu.Les moments de confidences dans les journaux intimes, les moments devant le miroir, ou dans la salle de bain et les moments dans le noir.


Dans le journal intime , on fait un peu comme un carnet de bord de notre journée.
 Quel rôle on a joué? Comment on était habiller? Notre comportement?
 Puis au fur et à mesure? on glisse des petites choses personnels.
 Sinon, on écrit ce qu’on pense de nous en tant que personnage et de personne.
 Ceci, c’est important de faire son introspection .
Nous sommes face à nos problèmes. Nous pouvons noircir nos ressentir. 
Nous en avons l'occasion de tout déballer. De jurer, de crier, de pleurer. De soulager un peu de l'encre de notre cœur, de ses remords . On peut laisser place au vrai et enlever notre masque.
Se livrer à même le papier
De dire " désolé je n'aurais pas dû .
 On ne peut pas retourner en arrière. On ne peut pas prendre un blanco ou rayer et faire comme s'il ne s'était rien passé. Cependant,  on peut les écrire et les marquer pour ne pas plus les faire.
Pour nous servir de leçon . 


Les moments devant le miroir se font surtout quand on se démaquille.
 Quand on enlève tout ce qui n’est pas nous pour se sentir vivre.
 Enlever vêtements s’il le faut , être nu à nu avec soit et se découvrir encore une fois.
 Voir le corps qu’on est vraiment. Se dire que ce n’est pas , que ce corps anorexique, obèse , malade enfin qu’importe mais c’est nous et on ne peut pas le changer. 
Nous n’avons qu’un corps et il faut les accepter comme il l’est.


La salle de bain c’est un moment fort qui rejoint les idées véhiculaient dans le post “ bath”
Cette idée qu’on peut laver nos erreurs. 
J’aime ce moment car c’est là qu’on peut verser des larmes du moins les laisser couler sans pression . Elles se confondent à l’eau et comme on dit ça fait du bien de pleurer.
 Je choisis la salle de bain car pour moi c’est un moment de détente où tu te mets à nu et que tu profite de toi.
 Pas dans un sens pervers mais juste qu’en sortant des cours ou d’une embrouille, tu franchis la porte de la salle de bain et tu te dis que:
 “ C’est mon moment , enfin je suis entre moi et moi, avec mes problèmes qui s’effacent peut être  et personne ne peut interrompre cette intimé ! "





Les moments dans le noir, c'est la meilleure des sensations, je pense. 
Quand tu ne sais plus où tu en es. Tu en es presque paniquée entre le vrai et le faux, entre l'être et le paraître. 
Tu fermes donc la porte de ta chambre, ta fenêtre aussi et tu éteins la lumière.
 Tu sens alors le vide t'envahir, le noir pesant. 
Au début c'est effrayant de se sentir seul. Mais au fond,  on est pas seul, on est avec nous.
 On se retrouve enfin dans le néant comme si la vrai part de nous était dans l'oubli.
 On se met à rire, à pleurer on ne sait pas pourquoi mais c'est merveilleux  Juste être sois.

J’imagine de temps en temps, une fille en pleurs car elle n’en peux plus du rôle qu’elle doit jouer. Elle est perdue dans le mensonge au point de se dire que son « vrai moi » est difficile d’accès .
 Je me dis que c’est triste . On doit être sois même. 
 C’est bien de plaire aux autres car on vit avec mais il faut avant tout s’aimer sois même.
 Ne pas forcément avoir une confiance extrême mais savoir qui on est.
 C’est mieux pour que les autres tentent de nous comprendre par la suite .








- By Yma.






Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le droit de vivre.

" Sèche tes larmes, je ne suis qu'une graine qui n'a pas pris racine" Cordon, Bigflo et Oli.  Photo by pandannalmagen sur Pixabay. Bonjour tout le monde. J’espère que vous allez bien depuis le temps. Personnellement, je suis en vacances et je profite pour me concentrer sur moi même et passer du bon en temps en famille. En tout cas j’espère que tout se passe bien de votre côté. Je voulais vous remercier de continuer de me lire et cela malgré mon irrégularité. Cela fait vraiment plaisir. Bonne lecture à vous et que du love ! Aujourd’hui, je voulais parler avec vous d’un sujet qui est d’assez d’actualité et surtout très important : l’avortement. Pourquoi ce sujet ? Premièrement, cela est un sujet sociétal qui est important et qui mérite qu’on en parle. Cela se connote au mouvement du féminisme notamment. Hormis cela, cela concerne la vie et le corps. Deuxièmement, tout simplement par rapport à ce qui s’est passé aux États Unis il y a peu. Les femmes de certains états ne

En corps.

 FACE A MOI -MÊME.  Photo d'Amandine. Son instagram @_.fat_a_lity._ Assise sur le sol, je suis face au miroir. Face à moi-même. J'ai décidé d'affronter la pire personne: moi-même. Je me contemple dans le miroir, enfin j'analyse ce que  je vois. Je fais attention à tous les détails que me renvoie ce reflet. Je mets la perception de mon corps à rude épreuve. Mon corps. Cette chose qui enrobe le squelette duquel je suis faite. Cet amas de chair que tantôt j'aime et tantôt je hais. Cette chose qui évolue avec nous, qui en proportion que cela soit verticale ou horizontale, provoquant  des vergetures. Ces traces sur nos corps qui sont  semblable à des traits dans le sable. Cet instrument qui permet de s'identifier en tant que soi et en tant qu'autrui. Il symbolise notre identité. Mon corps. Je prends le temps, de le regarder, de me regarder enfin plutôt de me redécouvrir. Par moment, quand je le vois, je n'arrive plus à le reconnaître. Ma vision de

L'enfance, une arme contre le futur.

Je ne sais pas si je suis la seule à qui ça arrive, le fait de penser à son enfance. Je trouve que plus on vieillit plus on s’éloigne de notre nous enfant.  Pourquoi ? Juste le fait d’être pris dans la routine, les responsabilités, le travail …. Toutes ces choses ne laisse pas libre court à l’imagination , l’innocence et à ce moment où on était encore inconscient, très curieux.  On voulait tenter des millier d’aventures, découvrir la vie de toutes les façons possibles.  On avait cette envie de vivre , d’aller loin avec juste comme arme notre créativité.  C’était notre esprit contre le reste du monde. Au fur et à mesure que je prends de l’âge, j’ai peur que cette part s’en va de moi, que le monde des adultes me fasse en quelque sorte rentrer dans la société.  C’est ça être adulte ? Perdre son âme d’enfant pour se mettre au service de personne qui nous voit seulement comme des chiffres?  Je veux être Peter Pan et ne jamais grandir. Je ne veux pas me perdr