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L'Amour en Noir et Blanc, tome 1 chapitre 7.

 

                                                     Chapitre 7 :  Et si c'était la bonne? 





Le lendemain matin je ne voulais pas me réveiller, j'étais trop bien dans ma sphère onirique. La soirée d'hier soir était tellement magique, presque comme dans un conte de fée. Cela m'a fait rappelé mes rêves d'autrefois. Quoi qu'il en soit, j'étais trop bien pour me réveiller. La tête remplie d'étoiles. Cependant, j'avais un petit goût amer qui s'installait en moi. Hier soir c'était " woow" mais il ne sait rien passé. Le monde était contre nous, il fallait le croire depuis le nombre de fois où nous essayons de nous embrasser. Si ce bouclier, comme j'aimais l'appeler, était une personne vivante, elle serait morte depuis longtemps, je dis ça je ne dis rien. Déjà que je ne voulais pas me lever, j'avais de mauvaises énergies dès le matin. La journée promettait donc. J'essayai de me calmer avec un peu de méditation pour stabiliser mes émotions, de faire le vide dans ma tête. Au bout de quelques minutes, je me sentais mieux, plus épanouie et plus maîtresse de mes émotions. J'ai décidé de changer la donne en me disant que malgré cette petite chose qui m'est désagréable j'avais eu un moment très complice qui se rapprochait d'un "nous". C'était un peu comme si on se disait " Je t'aime" dans le silence de la nuit. Les plaisirs nocturnes. J'ouvris enfin les yeux avec une pensée qui me régénéra presque : Ma petite Amy, vit l'instant présent et ce qui arrivera se fera en tout voulu. 

Le réveil se passa donc autrement que prévu. Je pris le temps, un peu comme s'il m'appartenait. Sereine, détendue, j'étais tout sauf en retard, enfin dans ma tête. Sauf que la réalité m'a frappé avec le comportement de ma soeur qui ne laissait rien trahir. A peine elle m'aperçut dans cet état de calme avancé qu'elle se dirigea vers sa voiture et partie en trombe, me laissant seule et désœuvrée. J'eus juste le temps de lui adresser un regard noir avant qu'elle ne disparaisse. Quand elle fut hors de ma vue, j'avais envie de crier sur elle et d'élaborer tous les stratagèmes possibles pou me venger mais je me rappelai de l'essentiel : 'étais déjà en retard et faire cela ne m'arrangeait en rien. Prise au dépourvue, je décidai de me rendre au bahut en pyjama. Je me suis dis au point où on en est. 

J'arrivai devant le lycée avant que la dernière sonnerie retentisse. Je me dépêchai un peu pour rejoindre mon petit groupe d'amies qui avait pris soin de m'attendre.  Ashley qui me regardait de ces yeux sombres et mystérieux qui me faisait à Aaron , Courtney qui était une rebelle de nature , et Avery qui se prenait "un peu " pour une intelligente , on l'a taquinée à ce sujet .A peine à leurs hauteurs, elle ne me laissèrent pas une seconde pour me " poser" et me bombarda de regards insistants voulant savoir quelque chose. Je les regardèrent à mon tour mais avec une intention de comprendre la situation. J'étais calme ce matin mais il ne fallait pas abuser. Au bout de quelques minutes, près de la salle de cours, elle lâchèrent la chose : 


- Il se passe quelque chose avec Aaron et toi , ne le nie pas. Cela se voit et se ressent dans la pièce. Tu rayonnes tellement tu as était " imprégné " de lui. Tu as des petites étoiles qui dansent dans les yeux quand on parle de lui et je suis sûre que c'est la même chose quand tu penses à lui, c'est çà dire presque tout le temps, me dit Avery d'une seule traite. 

- Mais tu racontes, n'importe quoi. Voyons, Avery qui serait intéressée par quelqu'un comme moi? Tu m'as vu? Lui répondis-je sur la défensive. 

-  Arrête donc de te négliger , regarde moi , je te ressemble , mais en pire , et pourtant James  a trouvé en moi , ce que je n’arrivais pas à percevoir moi même. Il m’a ainsi fait découvrir une nouvelle facette de moi par son regard, et au fur et à mesure je me suis mise à m’aimer un peu. Ressaisis toi , ma sœur, me- dis simplement Jane.

Je me tourna vers elle et la regarda droit dans les yeux pour qu'elle comprenne que je ne rigolais pas avec mes paroles : 
- Mais euh ..James , c'est James , tout le monde est différent . Puis dépêchons nous , on va être  vraiment en retard en cours , dis-je pressée .
-Amy , pressée d'aller en cours , c'est nouveau ça , remarqua Courtney , amusée.
 Un moment de silence se fit sentir jusqu'au moment où les filles comprirent quelque chose : On avait cours de musique et de ce fait je pouvais voir Aaron. 

Je n'avais pas tort. Nous arrivâmes bien en retard, cinq minutes après la sonnerie. Mais si ce n'était que cela. A peine arrivée,  je trébucha sur le sac de Paul, le ténébreux du bahut, qui me décocha un sourire par la même occasion. A ce moment précis, le regard d'Aaron croisa le mien et je ne sus plus où me mettre. En outre de cela, le regard de ma soeur et de nos amies, comme feu de projecteurs et le professeur qui me regarda avec un air furax. Moi qui ne voulait pas me faire remarquer ben c'est bien rater. 
Me sentant en détresse, Aaron se déplaça à la vitesse de l'éclair et me tendit la main. Un vrai gentlman. 

-Princesse , je t'en pris , accordez -moi votre main , dit -il en souriant.
-Oula, monsieur brûle des étapes , dis je en riant du fait que pour une fois  on échangeait nos rôles .
- Pour t'aider à te relever patate , pff arrête de te croire dans un Disney , dit -il en résistant à éclater de rire .

Ce moment dura une fraction de seconde mais était si agréable. Nous étions comme coupé du monde mais notre professeur nous toisa et nous retrouvâmes notre sérieux. La classe qui était parti dans un moment d'hilarité reprit son calme directement après l'intervention du calme. Il nous fit nous remettre en binôme afin que nous puissions avancer. 
Nous nous posâmes donc dans un coin de la pièce et nous commençâmes à travailler. Mais cela ne dura qu'un instant, tellement que nous n'arrivions pas à garder notre sérieux. Au bout de cinq minutes de contemplation, je remis les points sur les I. 

   -Il serait peut-être temps qu'on s'y mette depuis presque une semaine, après le rendez-vous raté pour ton cours de piano , on est un peu , beaucoup en retard , que propose-tu ?
- A mon avis , tu es une fille , dit-il en plaisantant , puis il repris , oui , vu que je ressens quelque chose pour toi , me déclara-t-il , oups , euh.....  Donc j'en revenais au sujet principal, tu dois certainement regarder des films d’amour, à l'eau de rose et tout , ou lire des bouquins également , ou encore , et je pense que je ne me trompe pas sur cette hypothèse-ci , écouter de la musique romantique , ou par chance écrire des poèmes ... supposa-t-il , tout en sentant le regard de Jane qui nous  espionnait . Donc pour toi, c’est plus facile de t’inspirer pour ce genre d’activités très à l’eau de rose. Enfin pardon d’être dans le stéréotypes de genre. 
  - Oui , bien sûr , c'est la fille qui doit tout faire , mais tu te crois où , non mais ! C'est pas possible, quel imbécile , celui-là , dis-je énervée en sortant du cours sans fournir d’explications à mon professeur .

Tout en sortant de la salle de cours, je me remémora ce qu'il venait de dire : 

      Il n'avait pas tout à fait tort , je regardais effectivement des films romantiques tel que Nos étoiles contraires , ou encore le culte , Titanic , et pleins d'autres. Je lisais de temps en temps , des ouvrages gorgés d'amour , comme Tes mots sur mes lèvres , Éternel , de ce genre -ci , mais niveau musique c'était du rock , ou éventuellement pour mon inspiration , pour mes poèmes , c'était plus doux . Même si je lui accorde la plupart de ces arguments, c'est très dans le stéréotypes de genre. Je ne me résume pas qu'à mon sexe biologique. Ce n'est pas lui qui me définit. Il me mit hors de moi. 

Le seul moyen de me calmer était de me trouver dans un endroit calme: Les Escaliers. Je m'y posai donc et enclenchai la musique dans mes oreilles. Je m'étais  dirigé vers un registre doux pour m'apaiser un peu. Cela eu un autre fait: un début d'inspiration pour une éventuelle production pour mon binôme. 

Je fermai les yeux et fit le vide dans ma tête. Je tentai de chercher des rimes, des sentiments enfouis, quelque chose qui me permettrai d'écrire. Je me mis à penser comme Winnie L'Ourson : Pense, Pense, Pense, et cela me fit rire. je partit de là et repensa à mon enfance , à mon premier "amoureux " de maternelle. J'étais contente d'avoir une piste , je me précipita de ce pas , vers Aaron pour lui dire .

Ma bonne humeur se heurta à la vue qui se présenta à moi quand je vis de loin, dans la salle de cours, Jane très près d'Aaron. Mon sang ne fit qu'un tour. Tellement emprise par les émotions, je pris automatique une photo. La seconde d'après, je cherchais James des yeux. Je pris vingt minutes à le trouver et quand ce fut le cas, j'aurais préféré le chercher encore. Je le vis en train de faire les yeux à Kimberly, une jeune fille blonde platine qui était arrivée ce matin. Elle était mignonne, là n'était pas le problème mais je me sentis mal. Ma soeur et lui passaient bien ensemble. J'y croyais réellement à leurs " union ". Je me vis comme dans le clip de Diam's " Confession nocturne" avec le " Mél assis toi faut que je te parle ".  J'avais beau être remontée contre elle, je ne pouvais pas m'empêcher de me sentir mal. 


J'en voulais à tout le monde. A  ma sœur qui se jetait sur le garçon qui me plaisait . A James qui trompait ma sœur . A Aaron qui m'a fait tant d'effet pour au final jouer avec moi  et tout compte fait à  moi même . Je me faisais peut - être trop de films, que je m'étais brûlée les ailes par ma naïveté. Prise par top d'émotions et sentant que j'étais sur le point d'énerver, je me dirigeai vers le parking et mis le contact. Je fis ma manœuvre et me dirigeai vers la maison. j'avais besoin de me reposer et de me réfugier dans des rêves où Aaron ne me trompait pas.  Arrivée à la maison, je me pris une boisson chaude, un thé à la menthe et allumai une bougie afin de me détendre, de façon générale cela fonctionnait. Ce fut le cas. Etant seule à la maison,, je mis de la musique à fond pour me déchainer un peu. Me déchaînant de toute mes forces, je me fatiguai et décidai d'aller me reposer suite à une bonne douche. 

  Cela devait faire au moins cinq heures que je dormais , à ce que je constatai en regardant l'heure sur mon téléphone. J'étais si bien avec mon Aaron que je pouvais embrasser , mais c'était un rêve . J'en versai plus d'une larme. Ma mère, qui venait d'arriver, m'entendit et vint me voir. 

- Pourquoi pleure -tu ?

-Je déteste la réalité. Elle est trop fausse, comme les mannequins. Tant de haine, de désespoir, qui noircit le ciel de mes pensées. Je suis perdue , simplement , dans ce naufrage de larmes .... lui expliquai-je implicitement.

- Quand tu te mets à parler comme ça , c’est que cela concerne un  garçon ... souviens- toi de euh….. Comment s’appelle-t-il ? Jonathan ?

   A ce moment-là , elle venait de s'ajouter sur ma liste noir .

  - Je ne voulais pas ... dit-elle en sanglot.

- Ce qui est fait et fait ... tu n'as  pas  vu ma traîtresse de sœur ...

- Si elle est avec Aoron au parc des hirondelles, dit-elle de manière neutre.

- Tu t'enfonces , chère mère , dis-je en partant en direction du parc des hirondelles .

  En route , je remarquai que je n'étais pas présentable , mais de toute façon  , c'est ma sœur qui aura une vilaine tête avec mon coup de poing dans la figure accompagné de  larmes après que je lui aurais montrer "la photo " . Je me sentais cruelle, mais il fallait que je le fasse, après ce qu'elle m'a fait .... Mais quand je vis ma sœur qui aidait Aaron à monter dans une barque, j’effaçai la photo, et me calma .

- Tiens voilà ma chère sœur que j'aime tant, dit Jane en parlant fort pour qu’Aaron l'entende .

-Qu'est-ce que tu as encore manigancer pour qu'il se passe quelque chose entre lui et moi ,  demandais-je sans plus attendre et hors de moi. 

 Elle laissa quelques instants se mettre entre nous avant d’ajouter en riant : Bon moi, je dois aller retrouver James qui doit m’attendre et puis je ne voudrais pas me retrouver aux urgences pour avoir provoqué la terreur de la terrible Amy. 

- Plus tôt  au cimetière, dis- je  pour renchérir tout en essayant de garder mon sérieux ou du moins ma colère initiale. 

- Avant que j’oublie, je t'ai prévu une tenue , plus convenable dans un sac , tu pourras te changer , derrière le bungalow , me conseilla-t-elle en regardant ma tenue pitoyablement froissée .

Je lui fis un «  merci » silencieux ainsi qu’une accolade avant de la laisser s’en aller. Puis, je pris le sac qu’elle m’avait laissé et suivit ses instructions. Je passai donc d'un short et d'un tee-shirt froissé à une robe simple bustier de couleur pourpre , très jolie même . 
 La première réaction d’Aaron était comme Jim Carrey dans " The Mask"  , il retenait sa mâchoire de tomber , j'en était flattée .

- Si mademoiselle , voudrais bien me suivre pour admirer le couché de soleil , et les étoiles scintillantes qui viendront illuminer nos yeux ce soir , dit-il poétiquement et de manière galante en me tendant la main .

-Dit de cette façon, je refuse , dis-je en plaisantant , il se décontracta de la même occasion , et m'emmena sur la barque .

      Lui et moi , sur une barque , c’était comme dans mes rêves.  Je me sentais si ... bien mais j'avais peur tout d'un coup. Le cadre était magique, tout l’était mais je ne pouvais m’m’empêcher d’appréhender tout de même ce fameux moment. Je le désirais ça ne pourrait qu’être bien mais une partie de moi, craignait cela. Pourquoi ? Ce n’était qu’un baiser après tout non ? Cela me tracassa et me submergea de plus belle, avec une telle intensité que je m’apprêtais à tomber à l’eau.  

  - Je te fais autant d'effet pour que tu tombes à la renverse , dit -il en m'aidant à remonter et me rapprocha de lui .

    On se regarda pendant de longues minutes. Tout d’abord c’était doux puis par moment, il y avait des pointes de sensualité, de désir. On n'était que tous  les deux , sans personnes pour nous espionner. On était là  et on osait rien se dire , rien faire. Le silence est bruyant quand les émotions émergent.
Puis le soleil se déclina dans des tons orangés et disparût en quelques secondes. Je le regarda, tellement le spectacle était sensationnel et il en profita, le petit con, comme je le surnommais quelque fois, pour m’embrasser. 

Il me fit rêver par un baiser sous le couché de soleil jusqu'à la deuxième étoile à gauche et tout droit jusqu'au matin. Surprise, je fermai les yeux pour savourer le moment. Puis, quand je les rouvris, je me sentis bien, libre, enfant. Je me sentais terriblement bien dans mon corps mais tout en étant déconnecté. Je ne saurais comment l’expliquer mais ce baiser était quelque chose. Il me raccompagna jusqu’à chez moi, sous un ciel bien étoilé. Devant la porte d’entrée, il me regarda avec une puissante intensité, pendant un peu après cinq minutes puis me glissa à l’oreille «  Dors bien ma princesse ». Il me procura des frissons  et un léger petit sourire. Je ne savais pas quoi lui répondre. Je n’étais pas préparé ou je ne pensais pas que ça serait si «  Wow ».  Avant de partir, il joua avec ces sourcils et je lui ris au visage. Etais-je quelqu’un de particulier ? Peut –être bien. Cependant, ce dont j’en étais sûre c’est que ce garçon fit  de moi un mystère quand je posai les yeux sur mon reflet le lendemain.  Je ne savais plus qui j’étais, au fond , est ce que je l'avais toujours su ? 


              -   By Yma. 


 


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